Sing me forgotten, de Jessica S. Olson
Isda n'existe pas - du moins pas hors des murs luxueux de l'opéra où elle se cache.
Car elle est née maudite, portant la marque de celles qui savent manipuler les souvenirs. Jetée au fond d'un puits à la naissance, elle a été recueillie par Cyril, le propriétaire d'un opéra. En échange de sa protection, il lui demande d'utiliser ses pouvoirs pour sublimer les impressions des spectateurs - et de ne surtout pas se montrer.
Mais Isda enfreint cette règle quand elle rencontre Emeric, un jeune ténor qui sème le trouble dans sa vie si solitaire. Derrière sa voix à nulle autre pareille, Isda découvre l'ombre d'une solution afin d'échapper à sa prison dorée. Mais elle est loin d'imaginer le prix à payer pour gagner sa liberté. Alors qu'elle se rapproche de plus en plus d'Emeric, elle comprend que, pour prendre son destin en main, elle va devoir devenir le monstre que le monde entier voudrait noyer...
Car elle est née maudite, portant la marque de celles qui savent manipuler les souvenirs. Jetée au fond d'un puits à la naissance, elle a été recueillie par Cyril, le propriétaire d'un opéra. En échange de sa protection, il lui demande d'utiliser ses pouvoirs pour sublimer les impressions des spectateurs - et de ne surtout pas se montrer.
Mais Isda enfreint cette règle quand elle rencontre Emeric, un jeune ténor qui sème le trouble dans sa vie si solitaire. Derrière sa voix à nulle autre pareille, Isda découvre l'ombre d'une solution afin d'échapper à sa prison dorée. Mais elle est loin d'imaginer le prix à payer pour gagner sa liberté. Alors qu'elle se rapproche de plus en plus d'Emeric, elle comprend que, pour prendre son destin en main, elle va devoir devenir le monstre que le monde entier voudrait noyer...
- Auteur : Jessica S. Olson | Editeur : Castelmore (coll. Bigbang)
- Genre : Fantastique | Langue : Français
- Date de parution : 04/10/2023 | Nombre de pages : 378
On a ici un univers où la mémoire est un élixir que chacun possède, mais qui n'excède pas 17 ans de vie. Passé cet âge, les souvenirs se recyclent pour laisser place aux nouveaux.
Certaines personnes naissent avec des pouvoirs en lien avec cet élixir. Les fendoirs peuvent extraire l'élixir des gens quand ils chantent. Ces fioles coûtent, du coup, extrêmement chers.
Les gravoirs, considérés comme des monstres et tués dès la naissance, sont capables de modifier les souvenirs directement dans la mémoire des gens, également lorsqu'ils chantent.
Isda est une gravoir, et est condamnée à vivre cachée dans l'opéra de Cyril, qui lui a sauvé la vie. En échange, elle utilise ses pouvoirs pour sublimer les impressions des spectateurs. Seulement, Isda voudrait vivre libre, chose qu'elle sait impossible… jusqu'à ce qu'elle rencontre Emeric, un ténor aux étranges souvenirs.
Ce roman tourne beaucoup autour de la musique et de la mémoire. Ainsi, tout est lié au chant, aux mélodies. Ça donne un petit aspect poétique assez plaisant.
Si on n’est pas mal perdu au début, les explications sur l'univers arrivent petit à petit. C'est perturbant, mais on s'y fait assez vite, du moment qu'on arrive à passer les 100 premières pages.
Emeric m'a de suite plu, de par son côté touchant, son humour et sa maladresse. A l'inverse, Isda m'a vite agacée, à sa façon d'agir sans se soucier des autres et des conséquences. J'ai eu l'impression qu'il n'y avait qu'elle qui comptait. Même à la fin je trouve que c'est surtout à sa petite personne qu'elle pense. C'est dommage car du coup je ne me suis pas du tout attachée à elle.
Même si l'intrigue va crescendo au fil des chapitres, je ressors un tantinet déçue et perplexe de ma lecture, compte tenu de la fin. Je m'attendais à autre chose, à un peu plus d'explications aussi. Là j'ai plutôt une sensation d'inachevé.
L'idée de la réécriture du Fantôme de l'opéra est plutôt bien travaillée dans l'ensemble, mais la fin ne m'a pas convaincue.
Certaines personnes naissent avec des pouvoirs en lien avec cet élixir. Les fendoirs peuvent extraire l'élixir des gens quand ils chantent. Ces fioles coûtent, du coup, extrêmement chers.
Les gravoirs, considérés comme des monstres et tués dès la naissance, sont capables de modifier les souvenirs directement dans la mémoire des gens, également lorsqu'ils chantent.
Isda est une gravoir, et est condamnée à vivre cachée dans l'opéra de Cyril, qui lui a sauvé la vie. En échange, elle utilise ses pouvoirs pour sublimer les impressions des spectateurs. Seulement, Isda voudrait vivre libre, chose qu'elle sait impossible… jusqu'à ce qu'elle rencontre Emeric, un ténor aux étranges souvenirs.
Ce roman tourne beaucoup autour de la musique et de la mémoire. Ainsi, tout est lié au chant, aux mélodies. Ça donne un petit aspect poétique assez plaisant.
Si on n’est pas mal perdu au début, les explications sur l'univers arrivent petit à petit. C'est perturbant, mais on s'y fait assez vite, du moment qu'on arrive à passer les 100 premières pages.
Emeric m'a de suite plu, de par son côté touchant, son humour et sa maladresse. A l'inverse, Isda m'a vite agacée, à sa façon d'agir sans se soucier des autres et des conséquences. J'ai eu l'impression qu'il n'y avait qu'elle qui comptait. Même à la fin je trouve que c'est surtout à sa petite personne qu'elle pense. C'est dommage car du coup je ne me suis pas du tout attachée à elle.
Même si l'intrigue va crescendo au fil des chapitres, je ressors un tantinet déçue et perplexe de ma lecture, compte tenu de la fin. Je m'attendais à autre chose, à un peu plus d'explications aussi. Là j'ai plutôt une sensation d'inachevé.
L'idée de la réécriture du Fantôme de l'opéra est plutôt bien travaillée dans l'ensemble, mais la fin ne m'a pas convaincue.
Karine N.
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