Yenni, la promise du dragon, de Nandi Taylor
Liés par le destin, séparés par le devoir.
Quand son père, le valeureux chef de la tribu Yirba, tombe grièvement malade, la princesse Yenni se lance dans une périlleuse quête à la recherche d’un remède miracle. Son voyage la mène jusqu’à l’empire Cresh, dans l’intransigeant Institut des Arts magiques. Sur ces terres inconnues, la jeune femme pourra compter sur son intelligence, sa force et ses runes sacrées, l’essence-même de sa magie, pour mener à bien sa mission. Mais tout bascule quand Yenni fait la rencontre de Weysh. Mi-homme, mi-dragon, cet être aussi exaspérant que fascinant ne cesse de la troubler. Et de clamer à qui veut l’entendre que Yenni est sa Promise, celle que le destin aurait placée sur son chemin. Malgré ses réticences, la princesse va devoir s’allier à Weysh pour avancer, quitte à lutter contre son attirance pour le dragon qui, jour après jour, devient plus forte.
Quand son père, le valeureux chef de la tribu Yirba, tombe grièvement malade, la princesse Yenni se lance dans une périlleuse quête à la recherche d’un remède miracle. Son voyage la mène jusqu’à l’empire Cresh, dans l’intransigeant Institut des Arts magiques. Sur ces terres inconnues, la jeune femme pourra compter sur son intelligence, sa force et ses runes sacrées, l’essence-même de sa magie, pour mener à bien sa mission. Mais tout bascule quand Yenni fait la rencontre de Weysh. Mi-homme, mi-dragon, cet être aussi exaspérant que fascinant ne cesse de la troubler. Et de clamer à qui veut l’entendre que Yenni est sa Promise, celle que le destin aurait placée sur son chemin. Malgré ses réticences, la princesse va devoir s’allier à Weysh pour avancer, quitte à lutter contre son attirance pour le dragon qui, jour après jour, devient plus forte.
- Auteur : Nandi Taylor | Editeur : Hachette
- Genre : Fantasy | Langue : Français
- Date de parution : 22/02/2023 | Nombre de pages : 439
J’ai craqué pour ce roman pour deux choses : sa couverture, et la thématique des dragons qui, soyons francs, n’est pas hyper présente dans les romans YA fantasy. Je n’en attendais pas forcément beaucoup, mais un minimum tout de même. Et finalement, je ressors un peu déçue de cette lecture.
C'est un roman qui partait sur de bonnes bases : des dragons, de la magie et une mystérieuse maladie incurable. De quoi faire une bien chouette histoire. Mais l'ensemble tourne beaucoup trop autour de la romance, laissant en retrait tout le reste. De plus, si ce livre est vraiment un one-shot, c'est très décevant car beaucoup de questions restent sans réponses : la maladie, la menace sur le peuple de Yenni, et même l'avenir du couple. Pour le coup, il faudrait vraiment un second tome pour venir conclure tout ça.
Le récit en lui-même est fluide, quoiqu'un peu inégal. L'action est surtout présente dans le dernier tiers du roman, laissant le reste assez plat et trop calme. Je m'attendais à trouver plus d'action et de magie.
J'ai trouvé très intéressante la façon dont est travaillée la différence de cultures entre ce que connaît Yenni et ce qu'elle découvre à Cresh. C'est pertinent et bien retranscrit. On sent que Yenni est perdue face à ce peuple différent du sien, et elle doit s'habituer à un mode de vie totalement différent.
Yenni est une jeune femme qui ne manque pas de courage mais qui est parfois un peu trop butée. Elle ne veut pas dévier de sa mission, même face à de bons arguments. Elle a tendance à faire un peu trop vite confiance également.
Weysh, mi-homme mi-dragon, est assez agaçant dans sa façon de s'imposer et de s'approprier Yenni, sa Prédestinée. Il est parfois même très lourd et on voudrait l'envoyer promener. Mais on s'attache tout de même assez vite à lui. Le fait qu'il soit un dragon a été l'argument majeur pour moi.
Leur relation est très classique : elle le déteste dès le départ, mais petit à petit s'attache à lui, mais lutte contre ses sentiments.
En somme, un roman qui avait beaucoup de potentiel, mais qui n'a pas su répondre à mes attentes. Si un tome 2 sort un jour, je le lirai avec plaisir car je veux savoir comment se conclut tout ça, mais si ce n'est pas le cas… alors je resterai déçue de ce roman.
C'est un roman qui partait sur de bonnes bases : des dragons, de la magie et une mystérieuse maladie incurable. De quoi faire une bien chouette histoire. Mais l'ensemble tourne beaucoup trop autour de la romance, laissant en retrait tout le reste. De plus, si ce livre est vraiment un one-shot, c'est très décevant car beaucoup de questions restent sans réponses : la maladie, la menace sur le peuple de Yenni, et même l'avenir du couple. Pour le coup, il faudrait vraiment un second tome pour venir conclure tout ça.
Le récit en lui-même est fluide, quoiqu'un peu inégal. L'action est surtout présente dans le dernier tiers du roman, laissant le reste assez plat et trop calme. Je m'attendais à trouver plus d'action et de magie.
J'ai trouvé très intéressante la façon dont est travaillée la différence de cultures entre ce que connaît Yenni et ce qu'elle découvre à Cresh. C'est pertinent et bien retranscrit. On sent que Yenni est perdue face à ce peuple différent du sien, et elle doit s'habituer à un mode de vie totalement différent.
Yenni est une jeune femme qui ne manque pas de courage mais qui est parfois un peu trop butée. Elle ne veut pas dévier de sa mission, même face à de bons arguments. Elle a tendance à faire un peu trop vite confiance également.
Weysh, mi-homme mi-dragon, est assez agaçant dans sa façon de s'imposer et de s'approprier Yenni, sa Prédestinée. Il est parfois même très lourd et on voudrait l'envoyer promener. Mais on s'attache tout de même assez vite à lui. Le fait qu'il soit un dragon a été l'argument majeur pour moi.
Leur relation est très classique : elle le déteste dès le départ, mais petit à petit s'attache à lui, mais lutte contre ses sentiments.
En somme, un roman qui avait beaucoup de potentiel, mais qui n'a pas su répondre à mes attentes. Si un tome 2 sort un jour, je le lirai avec plaisir car je veux savoir comment se conclut tout ça, mais si ce n'est pas le cas… alors je resterai déçue de ce roman.
Karine N.
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