Elle vient de réveiller un cauchemar d’une ampleur intersidérale…
Lors d’une mission de routine sur une planète inconnue, Kira découvre un organisme vivant d’origine extraterrestre. Fascinée, elle s’approche de l’étrange poussière noire. La substance s’étend sur tout son corps et commence à prendre le contrôle. Kira, en pleine transformation, va explorer les dernières limites de sa condition d’être humain.
Mais quelle est l’origine de cette entité ? Quelles sont ses intentions ?
La scientifique n’a pas le temps de répondre à ces questions : la guerre contre les aliens est déclarée, et Kira pourrait bien être le plus grand et le dernier espoir de l’humanité.
- Auteur : Christopher Paolini | Editeur : Bayard
- Genre : Young adult/Science-fiction | Langue : Français
- Date de parution : 14/10/2021 | Nombre de pages : 794
J’avais beaucoup aimé la saga Eragon du même auteur, et je n’ai pas hésité longtemps quand j’ai vu qu’il se lançait dans une nouvelle duologie, de Science-Fiction cette fois.
Nous y rencontrons Kira Navarez, une jeune femme en mission sur une planète inconnue. Seulement, elle y découvre une étrange poussière noire, qui va se retrouver à s’étendre sur son corps et à prendre le contrôle sur ses mouvements.
Outre essayer de comprendre quel est cette entité, d’où elle vient et tenter de l’apprivoiser, Kira va devoir faire face à une guerre contre des aliens qui exterminent la race humaine. Et il semblerait bien que Kira et son entité soit le dernier espoir pour tous.
J’ai beau avoir de suite accroché à l’histoire, ce livre reste assez compliqué pour ne pas pouvoir le lire n’importe quand. Ses 800 pages furent donc longues à lire. Je l’ai en effet commencé le jour de sa sortie, le 14 octobre 2020, et je l’ai seulement terminé le 7 juillet 2021. Il est longtemps resté en pause d’ailleurs.
On est plongés dès les premières pages dans l’intrigue, ce qui nous embarque directement dans l’histoire. J’avais un peu peur que ce récit de SF soit justement long à démarrer, comme c’est souvent le cas dans ce genre. Et c’est effectivement le cas. Après quelques chapitres en fanfare, le rythme se calme brutalement et devient très –trop- lent, si bien que l’on décroche par moments.
Pour un space opera, ça manque cruellement d’actions et de rebondissements, et il y a bien trop de discussions à mon goût. Espérons que dans le second volume ce ne soit pas le cas (surtout s’il fait le même nombre de pages).
Bien évidemment, récit de SF oblige, on a pas mal de détails scientifiques, notamment sur l’espace, les vaisseaux, les organismes, etc. Mais l’auteur a su rendre ça intéressant et pas trop rébarbatif. Le souci c’est essentiellement qu’il y en a trop, comparé à l’action qui est plutôt discrète.
L’ensemble du récit est riche et complexe, avec beaucoup de notions à intégrer mais aussi beaucoup de personnages. C’est intéressant, pas de doute là-dessus, mais fastidieux à comprendre pendant un temps.
Je reste néanmoins très curieuse de lire la suite (et fin) car les derniers chapitres sont plus rythmés et nous font nous poser plusieurs questions. Je lirai très certainement le second tome, d’autant que ce n’est pas un genre que je lis habituellement. Et puis, le tome 2 est le dernier de la série, ce qui n’est pas pour me déplaire.
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