Portrait d'un Starter -nouvelle-, de Lissa Price.
Une nouvelle exclusive pour découvrir l'univers de la série événement STARTERS, la nouvelle étoile noire de la dystopie.
Dans un futur proche : après les ravages d'un virus mortel, seules ont survécu les populations très jeunes ou très âgées : les Starters et les Enders. Réduite à la misère, la jeune Callie, du haut de ses seize ans, tente de survivre dans la rue avec son petit frère. Elle prend alors une décision inimaginable : louer son corps à un mystérieux institut scientifique, la Banque des Corps...
Une nouvelle exclusive pour découvrir l'univers de la série événement STARTERS, la nouvelle étoile noire de la dystopie.
Dans un futur proche : après les ravages d'un virus mortel, seules ont survécu les populations très jeunes ou très âgées : les Starters et les Enders. Réduite à la misère, la jeune Callie, du haut de ses seize ans, tente de survivre dans la rue avec son petit frère. Elle prend alors une décision inimaginable : louer son corps à un mystérieux institut scientifique, la Banque des Corps...

- Auteur : Lissa Price | Editeur : Robert Laffont (coll.R)
- Genre : Science-Fiction/Dystopie/Nouvelle/Jeunesse | Langue : Français
- Date de parution : 16/02/2012 | Nombre de pages : 22 (numérique)
Cette nouvelle
est assez courte, ne faisant qu’une vingtaine de pages il me semble (dans ma
version ebook), et introduit l’univers de Starters
sans trop en dévoiler.
De fait, on
découvre rapidement les Starters et les Enders du point de vue de Michael, ami
de Callie et Tyler. En fait, cette nouvelle est intéressante, mais n’apporte aucun
détail sur l’histoire à suivre. De ce fait, on n’est pas spoilés. Par contre,
elle explique l’origine de la couverture du tome 1, et les évènements qui ont
précédés ce même tome.
Ainsi, dans
cette nouvelle, Michael dessine Callie (ce qui aboutit à la couverture du
tome). Et de fait le titre de la nouvelle est à double sens. Parce qu’on peut
comprendre le portrait au sens où l’on apprend à connaitre un peu Michael, mais
aussi dans le sens où il dessine le portrait d’une Starter.
Et au centre de
cette séance de dessin se trouve une péripétie, durant laquelle Michael suit
Callie pendant la journée. On découvre aussi par ce biais les Enders et leur
peur des Starters, de même que l’injustice dont ces plus jeunes font les frais.
On ne s’attache
pas vraiment aux personnages je dois dire, même si on ressent les émotions de
Michael. Mais le texte est trop court pour qu’on les apprécie vraiment.
Il n’empêche que
cela titille assez bien notre curiosité malgré le manque d’action et donne
envie de découvrir un peu plus ce monde.
Karine N.
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