lundi 23 juillet 2012

Éternels tome 4 : la flamme des ténèbres d'Alyson Noël

Éternels tome 4 : La Flamme des ténèbres, d'Alyson Noël.
Dès qu'Ever révèle à son amie Haven sa nouvelle condition d'immortelle, celle-ci devient incontrôlable. Obsédée par ses pouvoirs extraordinaires, elle dévoile leurs secrets, mettant en péril leur monde caché, l'Eté perpétuel. 
Ever doit aussi se concentrer sur le sort qui la lie par erreur à son ennemi de toujours, Roman. Elle se plonge dans la magie pour trouver un antidote à l'irrésistible force qui l'éloigne chaque jour un peu plus de son âme soeur Damen. Mais Roman met en oeuvre une machination diabolique les détruire...
A deux doigts de baisser la garde, Ever trouvera-t-elle la force de se libérer de la malédiction avant d'être séparée de Damen à jamais ?
  • Auteur : Alyson Noël     |     Editeur : Michel Lafon
  • Genre : Fantastique/Jeunesse     |    Langue : Français
  • Date de parution : 10/     |     Nombre de pages : 330
Bon, il ne m’aura fallu que quatre heures pour lire ce tome 4. C’est dingue à quelle vitesse je les lis, et ce n’est pas parce que je suis totalement accro. En fait, je reste plutôt indifférente pendant ma lecture, et c’est ce qui me gêne. J’ai du mal à accrocher.

Alors, comme de bien entendu, on retrouve les personnages que l’on avait quitté dans le tome 3, dans la suite directe des évènements qui s’étaient déroulés. Pour ne pas spoiler ceux qui n’auraient pas lu jusque-là, je n’en parlerai pas.
Disons juste que, une fois encore, Ever a des ennuis, et s’en créé elle-même d’autre.

La plume d’Alyson Noël reste la même, fluide, agréable à lire et n’usant pas à outrance des descriptions (d’ailleurs, par moment, ça manque un peu).
Par contre, je trouve que plus de détails concernant les actions, ou ce qu’il se passe ne serait pas superflu. Par moment, entre deux chapitres, on a l’impression qu’il manque un morceau, et c’est Ever qui nous raconte en quelques phrases seulement ce qu’il s’est déroulé durant ces moments.

Au niveau des personnages… je crois que ça ne passera jamais avec Ever.  Je ne sais pas pourquoi, mais elle m’horripile. Damen quant à lui est un peu effacé dans ce tome, au profit des questionnements d’Ever.
A l’inverse, j’aime bien les personnages de Roman et de Jude. Roman, parce qu’il est en quelque sorte le « méchant », et je trouve qu’il a plus d’attrait, plus de personnalité que les autres. Et Jude… parce qu’il est gentil, il est « vrai ».

La conclusion de l’intrigue est surprenante, je dois l’avouer. Je n’entre pas dans les détails, mais disons que les problèmes d’Ever et Damen sont loin d’être résolus.

En bref, un tome dans la lignée des précédents, une série que je termine principalement parce que j’ai les tomes dans ma PAL, et pas pour une autre raison.



Karine N.

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