Les Gardiens de l'éternité tome 4 : Cezar, d'Alexandra Ivy.
Deux cents ans se sont écoulés depuis qu'Anna Randal s'est offerte à don Cezar lors d'une nuit de passion. Anna a alors été investie d'un pouvoir dont elle ne peut saisir la nature. Sa délicieuse rencontre a couté cher à Cezar : deux siècles de pénitence.
Deux cents ans se sont écoulés depuis qu'Anna Randal s'est offerte à don Cezar lors d'une nuit de passion. Anna a alors été investie d'un pouvoir dont elle ne peut saisir la nature. Sa délicieuse rencontre a couté cher à Cezar : deux siècles de pénitence.
Alors que les oracles lui ont ordonnés de veiller sur Anna, Cezar est déchiré entre son devoir et son besoin de la posséder. Anna doit quant à elle choisir entre succomber à un désir ténébreux... ou accepter une destinée qui pourrait changer le monde pour l'éternité.
- Auteur : Alexandra Ivy | Editeur : Milady
- Genre : Bit-lit/Romance paranormale | Langue : Français
- Date de parution : 23/09/2011 | Nombre de pages : 469
Quatrième tome,
qui retrace le chemin de dom Cezar, un proche des vampires que nous connaissons
déjà, mais dont nous n’avions pas entendu parler jusqu’à présent. Il faut dire
aussi qu’il était en Espagne. Quel dommage… Celui-ci a une tâche de la plus
haute importance à mener à bien, mais tout ne va pas se passer comme prévu.
Ici, c’est donc
l’histoire de Cezar, le vampire espagnol ancien conquistador, et Anna Randal,
une jeune femme qui a vécu deux siècles, mais dont on ignore la nature. Tous
deux se retrouvent à Chicago deux siècles après la nuit torride qu’ils ont
passés à Londres.
Anna souhaite
demander des explications à Don Cezar qu’elle accuse d’être à l’origine de ses
pouvoirs. Cezar lui est là pour la protéger, sur ordre des oracles. Mais de
quoi doit-il la protéger et quel est le lien avec la nature d’Anna ?
Commençons par l’intrigue.
Elle est bien tenue est haletante, ne laissant pas de place à l’ennui durant la
lecture. Petite originalité par rapport aux précédents tomes, c’est que là les
deux protagonistes se connaissent déjà, intimement si je puis dire. Du coup, on
alterne entre présent et passé grâce à quelques flashbacks, ce qui est plaisant
à lire.
Également, l’univers
s’agrandit une fois de plus, concernant cette fois les faes et les sidhes, et
plus particulièrement la légende arthurienne, ainsi que les oracles, figures
puissantes et mystérieuses de ce monde. Du coup on ne tourne pas en rond.
Passons aux
personnages maintenant, en commençant par Cezar. Puni et réduit en esclavage
pendant deux siècles par les oracles, il a pour mission de protéger Anna,
demoiselle qui ne le laisse clairement pas de marbre. On peut d’ailleurs
remarquer une similitude entre lui et Dante, qui était l’esclave des sorcières
et devait protéger Abby. Différence majeure : Cezar connaissait déjà Anna.
Et puis, l’histoire est clairement différente malgré ce léger point commun.
Enfin, le fait qu’il utilise souvent des expressions espagnoles m’a bien plu,
cela ajoute une touche sensuelle au livre.
Anna est une
femme au caractère affirmé qui a su rapidement s’adapter pour survivre. Elle n’est
donc pas en détresse et a donc du mal à accepter l’aide du vampire espagnol. Elle
est indépendante et capable de se défendre (surtout au vue de ses pouvoirs pour
le moins… dévastateurs. Ce n’est pas Viper qui dira le contraire)
Ensuite, encore
une fois, on retrouve les personnages des tomes précédents, ce qui est un
excellent point pour moi. Cela permet de garder une continuité dans la série.
Pour conclure,
ce tome m’a beaucoup plu, ce qui confirme mon addiction à la série, et j’ai
hâte de me procurer et lire le tome 5 consacré à Jagr, vampire érudit que l’on
croise dans ce tome. Il me semble particulièrement intéressant…
Karine N.
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