La chasseuse et l'alchimiste, d'Allison Saft
Le légendaire hala, créature mythique, a fait son apparition, et une
grande chasse va s'organiser. Margaret en est sûre, si elle remporte
cette chasse, sa mère Evelyn rentrera enfin à la maison. Mais même si
elle n'a pas son pareil avec un fusil, Margaret doit trouver un
alchimiste comme partenaire, c'est la règle. Wes n'est pas alchimiste,
du moins pas encore. Il a été congédié par tous ses maîtres, et Evelyn
représentait sa dernière chance.
Quand il arrive au manoir, Margaret accepte qu'il y reste, à une condition : qu'il l'accompagne à la Chasse. Bien qu'ils forment une équipe improbable, Wes admire cette fille qui a survécu seule, dans cette maison branlante emplie de fantômes et de chagrin. Et quand bien même Wes sème le chaos dans sa vie bien ordonnée, Margaret comprend vite qu'il sait, lui aussi, ce que c'est que d'être un paria.
Alors que la Chasse approche, ils vont découvrir une magie noire susceptible de leur offrir la victoire... à condition de réussir à survivre jusque-là.
Quand il arrive au manoir, Margaret accepte qu'il y reste, à une condition : qu'il l'accompagne à la Chasse. Bien qu'ils forment une équipe improbable, Wes admire cette fille qui a survécu seule, dans cette maison branlante emplie de fantômes et de chagrin. Et quand bien même Wes sème le chaos dans sa vie bien ordonnée, Margaret comprend vite qu'il sait, lui aussi, ce que c'est que d'être un paria.
Alors que la Chasse approche, ils vont découvrir une magie noire susceptible de leur offrir la victoire... à condition de réussir à survivre jusque-là.
- Auteur : Allison Saft | Editeur : Castelmore (Big Bang)
- Genre : Fantasy | Langue : Français
- Date de parution : 01/03/2023 | Nombre de pages : 505
Des alchimistes, une chasse à la créature mythique et de la magie noire, tout ça dans un superbe livre… je ne pouvais que me laisser tenter. Et je ressors assez satisfaite de cette lecture, qui est une bonne découverte, au contenu assez inattendu mais plaisant.
Bien que l'histoire soit assez lente à démarrer, je me suis vite laissée embarquer à la suite de Wes et Margaret. C'est un récit qui parle d'alchimie, de magie, mais aussi de problèmes de famille, de racisme, de différences et d'inégalités.
On est dans un monde où être un alchimiste accompli représente le summum et ouvre bien des portes dans la société. Wes vient d’une famille nombreuse touchée par le deuil de la disparition du père de famille. Sa famille a des problèmes d’argent, mais sont aussi mal vus de par leurs origines ethniques.
Wes a tenté plusieurs fois de trouver un mentor en alchimie, sans succès. Son dernier espoir est Evelyn, la mère de Margaret. Mais il ne s’attendait pas, en rejoignant le petit village de cette femme, à trouver sa fille seule et sans nouvelles de sa mère depuis des mois.
Ainsi comme le roman, nous faisant bien comprendre que les deux personnages principaux n’ont pas une vie simple, et que ça ne va pas forcément s’arranger.
Un détail très appréciable dans ce roman, c’est que la romance ne prend vraiment place que vers la fin du livre. Le reste, c'est plutôt deux personnages aux vies compliquées, aux caractères opposés, qui doivent vivre ensemble et surtout travailler ensemble pour pouvoir atteindre leurs objectifs, tout cela face à l’adversité et la haine.
Par contre, vu le résumé, je m'attendais à plus de magie et de chasse. Il en est tout autre. La majeure partie du roman se concentre sur la cohabitation forcée et compliquée entre nos deux héros, les liens qui se tissent entre eux petit à petit. On a aussi droit à leur entraînement pour la chasse et diverses interactions entre les personnages. La chasse en elle-même ne prend que quelques chapitres vers la fin. Ça aurait pu être décevant, mais la qualité du roman rattrape cela.
Par contre, j’aurai vraiment aimé voir plus et en savoir plus sur le Hala, la fameuse créature mythique qui doit être chassée. Pour le coup, on la mentionne beaucoup, mais on la voit peu, et ça c’est dommage.
Enfin, mention spéciale pour l'objet-livre, qui a une belle couverture reliée et un jaspage orné d'un renard blanc. C'est de toute beauté !
Bien que l'histoire soit assez lente à démarrer, je me suis vite laissée embarquer à la suite de Wes et Margaret. C'est un récit qui parle d'alchimie, de magie, mais aussi de problèmes de famille, de racisme, de différences et d'inégalités.
On est dans un monde où être un alchimiste accompli représente le summum et ouvre bien des portes dans la société. Wes vient d’une famille nombreuse touchée par le deuil de la disparition du père de famille. Sa famille a des problèmes d’argent, mais sont aussi mal vus de par leurs origines ethniques.
Wes a tenté plusieurs fois de trouver un mentor en alchimie, sans succès. Son dernier espoir est Evelyn, la mère de Margaret. Mais il ne s’attendait pas, en rejoignant le petit village de cette femme, à trouver sa fille seule et sans nouvelles de sa mère depuis des mois.
Ainsi comme le roman, nous faisant bien comprendre que les deux personnages principaux n’ont pas une vie simple, et que ça ne va pas forcément s’arranger.
Un détail très appréciable dans ce roman, c’est que la romance ne prend vraiment place que vers la fin du livre. Le reste, c'est plutôt deux personnages aux vies compliquées, aux caractères opposés, qui doivent vivre ensemble et surtout travailler ensemble pour pouvoir atteindre leurs objectifs, tout cela face à l’adversité et la haine.
Par contre, vu le résumé, je m'attendais à plus de magie et de chasse. Il en est tout autre. La majeure partie du roman se concentre sur la cohabitation forcée et compliquée entre nos deux héros, les liens qui se tissent entre eux petit à petit. On a aussi droit à leur entraînement pour la chasse et diverses interactions entre les personnages. La chasse en elle-même ne prend que quelques chapitres vers la fin. Ça aurait pu être décevant, mais la qualité du roman rattrape cela.
Par contre, j’aurai vraiment aimé voir plus et en savoir plus sur le Hala, la fameuse créature mythique qui doit être chassée. Pour le coup, on la mentionne beaucoup, mais on la voit peu, et ça c’est dommage.
Enfin, mention spéciale pour l'objet-livre, qui a une belle couverture reliée et un jaspage orné d'un renard blanc. C'est de toute beauté !
Karine N.
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