Les royaumes immobiles tome 2 : le règne des chimères, d'Ariel Holzl
Un mois s'est écoulé depuis la fuite d'Ivy et d'Odd vers l'Ailleurs. Ils
ont trouvé un toit, un emploi et s'accommodent de leur nouvelle vie.
Mais c'est sans compter sur les responsabilités d'Ivalie : la reine Mab
envoie deux anciennes connaissances de la jeune femme pour la ramener
dans les Royaumes immobiles. Hélionie a beau s'être emparée du trône
d'Evergrey, elle ne parvient pas à maîtriser le Glimmer qui poursuit sa
déliquescence. De son côté, Séline règne sur Radiance où des chimères
cauchemardesques peuplent la nuit perpétuelle qu'elle entretient.
Ivy va devoir se battre pour son peuple, nouer de nouvelles alliances – notamment avec la mystérieuse cour des Ombres –, travailler sur sa maîtrise de l'Art et sa confiance en elle-même et surveiller ses arrières, car les Royaumes immobiles n'ont pas terminé de livrer leurs secrets !
Ivy va devoir se battre pour son peuple, nouer de nouvelles alliances – notamment avec la mystérieuse cour des Ombres –, travailler sur sa maîtrise de l'Art et sa confiance en elle-même et surveiller ses arrières, car les Royaumes immobiles n'ont pas terminé de livrer leurs secrets !
- Auteur : Ariel Holzl | Editeur : Slalom
- Genre : Fantasy | Langue : Français
- Date de parution : 19/01/2023 | Nombre de pages : 462
Le tome 1 de cette duologie avait été une excellente découverte. J’avais adoré l’univers et l’intrigue. Alors autant dire que je n’ai pas attendu longtemps avant d’attaquer le dernier volume.
Nous retrouvons Ivy et Odd un mois après leur fuite précipitée vers l’Ailleurs, le monde des humains, suite aux évènements catastrophiques du Sacre. Ils ont trouvé un refuge chez une mortelle, mais les responsabilités d’Ivy envers son peuple et la malédiction qui agit sur Odd les obligent à retourner dans les Royaumes immobiles lorsque deux messagers viennent la chercher. Evergrey et les Royaumes sont en guerre et ont besoin d’elle.
Ce tome est tout aussi passionnant que le premier, et surtout riche en rebondissements et révélations. Certaines choses sont quelque peu prévisibles, mais néanmoins plaisantes à découvrir. Quant à la révélation finale, ça je ne m’y attendais pas du tout, et c’est à mon sens bien trouvé comme « explication » à cet univers. Je ne peux rien en dire de précis, hormis que c’est une idée originale à laquelle on ne s’attend pas. Elle est de plus plutôt bien amené, quoiqu’un peu rapidement.
Ivy évolue dans ce roman. Dans le premier tiers elle est assez agaçante et naïve, mais elle gagne vite en maturité et elle prend ses responsabilités à bras le corps. Elle protège ses proches et son peuple, et n’hésite pas à se battre elle-même pour éviter que d’autres meurent pour elle. C’est une héroïne qui a ses forces et ses faiblesses, et c’est d’autant plus appréciable. Et, elle réfléchit avant d’agir, du moins le plus souvent.
Les autres personnages ne sont pas en reste et ont leur petit moment de « gloire ». Cela étant, j’aurai aimé qu’ils soient un peu plus étoffés, cela aurait donné une autre dimension au récit je pense. Non pas que donner la priorité à Ivy soit une erreur, au contraire, mais tout au long du tome elle avance en équipe, et j’aurai aimé mieux en connaitre tous ses membres.
Si le début du roman est assez lent, le rythme s’accélère assez vite, enchainant rebondissements, action et recherche de réponses, de plans pour gagner la guerre. C’est passionnant, et ça se lit à toute vitesse. J’ai passé un excellent moment, c’était impossible de décrocher du livre, je voulais savoir le fin mot de l’histoire, savoir si la guerre allait cesser, et si de nouveaux mystères allait être révélés.
En conclusion, c’est une très bonne duologie de fantasy sur un univers qui m’a toujours fasciné, et qui peut s’adapter et s’expliquer de différentes façons, comme le prouve ici Ariel Holzl. A lire, assurément.
Nous retrouvons Ivy et Odd un mois après leur fuite précipitée vers l’Ailleurs, le monde des humains, suite aux évènements catastrophiques du Sacre. Ils ont trouvé un refuge chez une mortelle, mais les responsabilités d’Ivy envers son peuple et la malédiction qui agit sur Odd les obligent à retourner dans les Royaumes immobiles lorsque deux messagers viennent la chercher. Evergrey et les Royaumes sont en guerre et ont besoin d’elle.
Ce tome est tout aussi passionnant que le premier, et surtout riche en rebondissements et révélations. Certaines choses sont quelque peu prévisibles, mais néanmoins plaisantes à découvrir. Quant à la révélation finale, ça je ne m’y attendais pas du tout, et c’est à mon sens bien trouvé comme « explication » à cet univers. Je ne peux rien en dire de précis, hormis que c’est une idée originale à laquelle on ne s’attend pas. Elle est de plus plutôt bien amené, quoiqu’un peu rapidement.
Ivy évolue dans ce roman. Dans le premier tiers elle est assez agaçante et naïve, mais elle gagne vite en maturité et elle prend ses responsabilités à bras le corps. Elle protège ses proches et son peuple, et n’hésite pas à se battre elle-même pour éviter que d’autres meurent pour elle. C’est une héroïne qui a ses forces et ses faiblesses, et c’est d’autant plus appréciable. Et, elle réfléchit avant d’agir, du moins le plus souvent.
Les autres personnages ne sont pas en reste et ont leur petit moment de « gloire ». Cela étant, j’aurai aimé qu’ils soient un peu plus étoffés, cela aurait donné une autre dimension au récit je pense. Non pas que donner la priorité à Ivy soit une erreur, au contraire, mais tout au long du tome elle avance en équipe, et j’aurai aimé mieux en connaitre tous ses membres.
Si le début du roman est assez lent, le rythme s’accélère assez vite, enchainant rebondissements, action et recherche de réponses, de plans pour gagner la guerre. C’est passionnant, et ça se lit à toute vitesse. J’ai passé un excellent moment, c’était impossible de décrocher du livre, je voulais savoir le fin mot de l’histoire, savoir si la guerre allait cesser, et si de nouveaux mystères allait être révélés.
En conclusion, c’est une très bonne duologie de fantasy sur un univers qui m’a toujours fasciné, et qui peut s’adapter et s’expliquer de différentes façons, comme le prouve ici Ariel Holzl. A lire, assurément.
Karine N.
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