« Ta mère te crie que tu vas louper ton bus. Tu ne prends le temps ni de
la serrer dans tes bras ni de lui dire que tu l’aimes. Sauf
que, si tu avais su que tu voyais ta mère pour la toute dernière fois, tu aurais pris le temps. Et tu regretterais de ne pas avoir raté le bus. »
La fin du monde débute comme un jour ordinaire où tout bascule soudain.
Une tempête de grêle. Un accident. Des morts.
A peine le temps de retrouver ses esprits qu'il faut déjà courir, chercher un abri. Dehors, la menace plane toujours, contaminant l'air. La grêle n'était qu'un début...
Nous sommes quatorze, pris au piège dans un centre commercial.
A attendre une aide qui ne viendra jamais.
Nous sommes seuls au monde.
La fin du monde débute comme un jour ordinaire où tout bascule soudain.
Une tempête de grêle. Un accident. Des morts.
A peine le temps de retrouver ses esprits qu'il faut déjà courir, chercher un abri. Dehors, la menace plane toujours, contaminant l'air. La grêle n'était qu'un début...
Nous sommes quatorze, pris au piège dans un centre commercial.
A attendre une aide qui ne viendra jamais.
Nous sommes seuls au monde.
- Auteur : Emmy Laybourne | Editeur : Milady
- Genre : Science-Fiction/Jeunesse | Langue : français
- Date de parution : 21/03/2014 | Nombre de page(s) : 343
On m’a dit pas
mal de bien de ce livre, alors je n’ai pas résisté à le lire bien vite après
l'avoir gagné au concours organisé par Moody-TakeaBook. Et je ne suis
absolument pas déçue.
Nous suivons
Dean, élève tout à fait normal d'un lycée. Alors qu'il prend le bus pour aller
en cours, un cataclysme s'abat sur le pays, commençant par une violente tempête
de grêle. Son bus a bien vite un accident, et beaucoup de jeunes meurent à
l'intérieur. Dean et 5 de ses camarades s'en sortent et se réfugient dans un
centre commercial, où sont déjà cachés les enfants de collège et primaire
survivants, dont Alex, le frère de Dean. Ils sont 14, pris au piège, seuls, car
la menace gronde toujours dehors, et s'aggrave de plus en plus.
Tout le pays s’avère
touché par de graves problèmes météo suite à l’énorme éruption d’un volcan. La
situation est catastrophique, empire jour après jour, et l'état d'alerte et
déclenché.
On a quelques
informations sur ce qu'il se passe dans le pays, mais le texte reste surtout
centré sur la survie des enfants, qui sont dans l'incapacité de voir
l'extérieur, prisonniers du centre commercial qui s'est refermé sur eux.
Les enfants
s'organisent pour survivre, mais les tensions apparaissent bien vite. La peur
aggrave le tout, les plus jeunes veulent leur parents, veulent rentrer chez
eux, autant dire que la situation est critique. Mais ils parviennent tant bien
que mal à s'organiser, plusieurs ayant un rôle qui lui est dévolu.
Ils sont
enfermés 12 jours. Une courte durée, certes, mais qui peut vite paraître
interminable. Au fil des jours, des liens se nouent, se dénouent. Le danger est
tout aussi présent à l'intérieur qu'à l'extérieur.
Les choses
s'aggravent lorsque des produits chimiques se répandent dans l'air et dans
l'eau après une fuite de l'usine. Ces produits affectent tout le monde
différemment, selon leur groupe sanguin (paranoïa aigüe, cloques, sauvagerie ou
problèmes de reproduction et stérilité), les symptômes allant en s'aggravant si
l'exposition aux produits dure trop longtemps. Les enfants sont brièvement
touchés, mais cela engendre des problèmes immédiats, et laisse présager des
problèmes futurs.
Tous les enfants
ont une personnalité qui leur est propre, même les plus jeunes, ce qui est
vraiment une bonne chose. Chacun a son petit moment de « gloire »,
aucun d'entre eux n'est oublié.
Parmis les
« grands », à savoir les lycéens, il y a Dean, Niko, Jake, Brayden,
Josie et Astrid. Pour les plus jeunes (collège et primaire), il y a Alex et
Sahalia (les collégiens), Chloé en CE2, Max et Ulysses en CP, Batiste en CE1,
et les jumeaux Caroline et Henry, âgés de 5 ans.
Dean était au lycée un garçon plutôt en retrait, presque invisible, et ça ne change pas vraiment ici. Il suit surtout le mouvement. Cela étant, je trouve que c'est une bonne chose que ce soit lui le narrateur, car il a un point de vue relativement calme. Il est observateur.
Dean était au lycée un garçon plutôt en retrait, presque invisible, et ça ne change pas vraiment ici. Il suit surtout le mouvement. Cela étant, je trouve que c'est une bonne chose que ce soit lui le narrateur, car il a un point de vue relativement calme. Il est observateur.
C'est le premier tome d'une duologie
pleine de tension, de peur, d'appréhension. On ne sait pas comment vont s'en
sortir ces enfants, on a peur pour eux, et on espère que tout va bien se
terminer. Mais dans ce genre de situation, tout est possible, d'autant que ça
devient bien vite le chaos quand une catastrophe de ce genre se produit.
Quant à la fin, je ne m’attendais
pas du tout à ça, et je suis ravie d’avoir la suite dans ma PAL. Je n’aurais
donc pas à attendre pour lire la fin. Je ne peux vraiment que vous conseiller
cette série.
Karine N.
Il me tente bien. ^^
RépondreSupprimer:) Si tu aimes le genre, il faut le lire, c'est super
SupprimerC'est un livre qui est dans ma WISH depuis pas mal de temps :) !!! Il me tente vraiment beaucoup :) !!! Ton avis donne vraiment envie :) !!!
RépondreSupprimerIl est vraiment génial. Et puis, un autre avantage, c'est que la série ne fait que 2 tomes ^^
SupprimerJe suis ravie que mon avis t'ai donné envie :)