Les faucons de Raverra tome 1 : la sorcière captive, de Melissa Caruso
Contrôle la magie, contrôle le monde
La magie est peu fréquente dans l’Empire raverrainn. Ceux qui naissent avec ce pouvoir sont étroitement contrôlés : repérés dès l’enfance, ils se retrouvent enrôlés de force dans le régiment des Faucons.
Zaira a évité ce sort ; elle a grandi dans les rues en volant pour survivre et en dissimulant sa nature. Mais elle cache une magie rare et dangereuse, une magie qui pourrait menacer l’Empire tout entier.
Amalia Cornaro n’était pas destinée à devenir Fauconnière. Héritière d’une puissante famille, elle a été élevée dans le monde dangereux des machinations politiques. Mais le sort va réunir l’héritière et la sorcière en une alliance improbable. Alors que la menace de la guerre se profile, il pourrait suffire d’une étincelle pour transformer leur cité en un brasier incandescent…
La magie est peu fréquente dans l’Empire raverrainn. Ceux qui naissent avec ce pouvoir sont étroitement contrôlés : repérés dès l’enfance, ils se retrouvent enrôlés de force dans le régiment des Faucons.
Zaira a évité ce sort ; elle a grandi dans les rues en volant pour survivre et en dissimulant sa nature. Mais elle cache une magie rare et dangereuse, une magie qui pourrait menacer l’Empire tout entier.
Amalia Cornaro n’était pas destinée à devenir Fauconnière. Héritière d’une puissante famille, elle a été élevée dans le monde dangereux des machinations politiques. Mais le sort va réunir l’héritière et la sorcière en une alliance improbable. Alors que la menace de la guerre se profile, il pourrait suffire d’une étincelle pour transformer leur cité en un brasier incandescent…
- Auteur : Melissa Caruso | Editeur : Castelmore (col. BigBang)
- Genre : Fantasy | Langue : Français
- Date de parution : 12/06/19 | Nombre de pages : 672
Amalia Cornaro, 18 ans, est la fille de la Contessa de Raverra. Alors qu’elle se rend illégalement chez un prêteur sur gages pour récupérer un livre rare traitant de l’Artifice, elle croise la route d’une sorcière de feu, possédant le pouvoir du malefeu, et d’un Fauconnier qui lui demande d’asservir la sorcière, sans savoir qu’elle est membre de la noblesse. Ainsi commence son histoire, car elle devient alors la Fauconnière de cette jeune sorcière, la seule à pouvoir contrôler la magie du malefeu de la sorcière.
Clairement, on est lancés dans l’intrigue dès les premières pages. Il n’y a pas de longue introduction, pas de temps mort. On découvre ce monde au fil de ce qui arrive à Amalia, elle nous distribue les informations lorsque cela est pertinent par rapport au récit. C’est d’autant plus appréciable que cela n’alourdit pas le roman et nous permet d’apprendre les choses doucement.
Nous sommes donc dans une ville, un Empire, où les sorciers, appelés Faucons, sont asservis comme les animaux dont ils portent le nom. Ils sont sous la garde d’un Fauconnier, celui qui lui a passé le bracelet restreignant ses pouvoirs, et vit dans l’enceinte des Mues, sans avoir le droit d’en sortir sans son Fauconnier.
Outre les questions de magie, de confiance à gagner entre Amalia et Zaira, et tout l’aspect Faucons, on a aussi une grosse partie politique dans ce récit. Même si l’Empire à la mainmise, cela n’empêche pas d’autres royaumes de vouloir plus de pouvoir. Et le fait qu’Amalia soit devenue Fauconnière d’une sorcière de feu intéresse beaucoup de monde, autant les alliés que les rivaux.
On a aussi une partie de lutte de pouvoir interne, avec des dissensions au sein de Conseil des Neuf, qui dirige Raverra avec le doge.
Si au fil des chapitres l’histoire devient plus complexe et intéressante, j’ai regretté les plus ou moins longs passages de politique. Je ne suis pas une grande adepte de cette thématique dans les romans fantasy, surtout quand on a de longs dialogues sur ce sujet.
J’ai dû attendre une dizaine de chapitres avant que l’histoire se lance véritablement, avec du danger et des intrigues qui pleuvent. Autant dire que, tout à coup, cela devient beaucoup plus intéressant. En soit, l’introduction de l’univers à une longueur assez raisonnable, et se lit avec facilité, donc ce n’est pas gênant.
Sur les derniers chapitres, le rythme s’accélère fortement, ce qui m’a fait engloutir les dernières pages. C’est plein d’action et de rebondissements, pour la plus grande joie du lecteur.
Une petite chose que je regrette c’est que, contrairement à ce qu’on pourrait penser vu le résumé, la magie des Fauconniers est plutôt absente de ce premier tome. En effet, il se concentre surtout sur le développement des relations entre Amalia, Zaira et Marcello, ainsi que sur des complots politiques. C’est intéressant, certes, mais quand on s’attend à de la magie, c’est un peu décevant.
En tout cas, je vais avec plaisir lire la suite, car quelques questions restent en suspens et j’aimerai savoir comment les choses vont évoluer.
Clairement, on est lancés dans l’intrigue dès les premières pages. Il n’y a pas de longue introduction, pas de temps mort. On découvre ce monde au fil de ce qui arrive à Amalia, elle nous distribue les informations lorsque cela est pertinent par rapport au récit. C’est d’autant plus appréciable que cela n’alourdit pas le roman et nous permet d’apprendre les choses doucement.
Nous sommes donc dans une ville, un Empire, où les sorciers, appelés Faucons, sont asservis comme les animaux dont ils portent le nom. Ils sont sous la garde d’un Fauconnier, celui qui lui a passé le bracelet restreignant ses pouvoirs, et vit dans l’enceinte des Mues, sans avoir le droit d’en sortir sans son Fauconnier.
Outre les questions de magie, de confiance à gagner entre Amalia et Zaira, et tout l’aspect Faucons, on a aussi une grosse partie politique dans ce récit. Même si l’Empire à la mainmise, cela n’empêche pas d’autres royaumes de vouloir plus de pouvoir. Et le fait qu’Amalia soit devenue Fauconnière d’une sorcière de feu intéresse beaucoup de monde, autant les alliés que les rivaux.
On a aussi une partie de lutte de pouvoir interne, avec des dissensions au sein de Conseil des Neuf, qui dirige Raverra avec le doge.
Si au fil des chapitres l’histoire devient plus complexe et intéressante, j’ai regretté les plus ou moins longs passages de politique. Je ne suis pas une grande adepte de cette thématique dans les romans fantasy, surtout quand on a de longs dialogues sur ce sujet.
J’ai dû attendre une dizaine de chapitres avant que l’histoire se lance véritablement, avec du danger et des intrigues qui pleuvent. Autant dire que, tout à coup, cela devient beaucoup plus intéressant. En soit, l’introduction de l’univers à une longueur assez raisonnable, et se lit avec facilité, donc ce n’est pas gênant.
Sur les derniers chapitres, le rythme s’accélère fortement, ce qui m’a fait engloutir les dernières pages. C’est plein d’action et de rebondissements, pour la plus grande joie du lecteur.
Une petite chose que je regrette c’est que, contrairement à ce qu’on pourrait penser vu le résumé, la magie des Fauconniers est plutôt absente de ce premier tome. En effet, il se concentre surtout sur le développement des relations entre Amalia, Zaira et Marcello, ainsi que sur des complots politiques. C’est intéressant, certes, mais quand on s’attend à de la magie, c’est un peu décevant.
En tout cas, je vais avec plaisir lire la suite, car quelques questions restent en suspens et j’aimerai savoir comment les choses vont évoluer.
Karine N.
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