Animae tome 2 : la trace du coyote, de Roxane Dambre
partenariat éditions de l'épée - livre de poche
partenariat éditions de l'épée - livre de poche
Découvrez la suite des aventures de la jeune Lou, mi-espionne, mi-panthère, mais 100 % attachante !
Lou,
22 ans, travaille au département de Recherche sur l’Inexplicable de la
DCRI, les services secrets français. Ses collègues lui reconnaissent un
instinct stupéfiant pour différencier les coups montés du surnaturel.
Bien entendu, aucun ne sait la vérité : même si elle a l’air d’une jolie
blonde un peu fragile, la vraie nature de Lou est animale, elle se
transforme à volonté. En panthère, de préférence. Alors évidemment, pour
repérer les trucs bizarres (à part elle-même, s’entend), ça aide... Lou
est fiancée au beau Capitaine Joshua et le dîner de présentation
officiel arrive enfin. Elle est aux anges, jusqu’à ce qu’une mauvaise
ombre vient gâcher la fin du repas : les révélations de sa mère vont
ouvrir le bal des festivités et une série de rebondissements à n'en plus
finir !
- Auteur : Roxane Dambre | Editeur : Livre de poche
- Genre : Fantastique/Policier | Langue : français
- Date de parution : 20/08/2014 | Nombre de page(s) : 356
Ayant beaucoup
aimé le tome 1, je n'ai pas trainé à lire le suivant dès qu'il a été en ma
possession. Et ce second tome fut un vrai régal à lire, une excellente lecture que
je ne peux que conseiller.
Nous retrouvons
Lou un an et demi après les évènements du tome 1. Elle est toujours membre du
département des mystères de la DCRI et est maintenant fiancée au capitaine
Joshua.
Alors que tous
les deux sont à un diner avec la famille de Lou (pour présenter officiellement
leur couple), sa mère lui apprend qu'un Chalcroc monstrueux a tué deux
Daïerwolfs, et à la fin du repas ils apprennent qu'une bombe, appartenant à un
groupuscule défenseur de la Nature, ramenée plus tôt dans la journée (qu'ils
pensaient factice) a explosé dans les locaux de la DCRI.
Les ennuis sont
de retour. En plus de l'enquête sur la bombe, Lou doit enquêter de son coté sur
les deux meurtres.
Les deux
affaires, contrairement à ce que l’on pourrait croire, ne sont pas liées. Mais
elles permettent d’inclure Lou et Joshua dans les deux univers, car bien
évidemment elle ne le laisse par partir seul en mission, et lui fait de même
envers elle.
Tous les deux
prennent des risques dans ce tome, l’enquête de Joshua se termine un peu plus
vite, mais le problème du Chalcroc se complexifie au fil des pages et pourrait
bien causer beaucoup d’ennuis à toute la communauté Daïerwolf.
Nous retrouvons
tous les personnages rencontrés précédemment, des personnages toujours aussi plaisants
à suivre. Ils sont attachants, drôles et très soudés. J'ai un petit faible (si
l’on excepte le couple de héros) pour Arthur, ce bidouilleur informatique de
génie, gaffeur mais intelligent. On ne s’en doute pas forcément, mais c’est un
personnage tout de même essentiel de l’équipe. Benjamin, le bras droit de
Joshua, est également un peu plus présent, notamment du fait d’un problème
grave qui lui arrive. Cela le rapproche un peu plus de la sphère centrale des
personnages.
Le couple que
forment Lou et Joshua est très… mignon à suivre. Ils s’aiment, mais cela ne les
empêchent pas de se lancer des piques, de se chamailler, mais toujours ils se
réconcilient. Ils sont soudés et très amoureux l’un de l’autre, au point d’en
être malade quand l’un d’eux est en danger.
Les ennuis et le
danger sont pas mal présents, cette intrigue fait quelques blessés mais aussi
des morts, et manque de tourner au drame plusieurs fois. On est du coup sur des
charbons ardents, on a peur de ce qu’il peut se passer et on dévore les pages
pour savoir ce qui va arriver.
Mais outre la
tension quasi omniprésente, il y a aussi beaucoup d'humour. Je garde en tête
Lou qui cuisine pour la première fois des lasagnes, mémorable ! (Sculpter des
noisettes dans le beurre, parce que la recette dit de mettre des
"noisettes de beurre" faut le faire quand même). En fait, j'ai fait
du yoyo entre les éclats de rire et le ventre noué par l'appréhension, et c'est
pour moi un excellent point.
Karine N.
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